Campagnes européennes : à trois jours du scrutin, la liste « Envie d’Europe » pleine d’espoir

Alors que la campagne européenne touche à sa fin, le leader de la liste PS-Place publique Raphaël Glucskmann continue de porter haut et fort son projet d’une Europe plus écologique et sociale. Loin de son entrée en campagne difficile, la liste « Envie d’Europe » gagne une belle dynamique dans sa dernière ligne droite. Le meeting du 19 mai dernier au Cabaret sauvage a en effet galvanisé les troupes, grâce à des candidats et des militants confiants, et à un Premier secrétaire du PS optimiste : « On a la quasi-totalité du PS dans la campagne, on sent une vraie chaleur et une envie que la gauche redresse la tête. Même si on a eu notre lot d’embûches, je pense qu’on sera largement au-dessus de 5 % ».

Un espoir qu’il n’est pas fou d’avoir au regard des grandes ambitions portées par le programme PS-Place publique. Ce sont 10 combats communs, en train d’être menés et à poursuivre pour réussir la construction d’une Europe plus juste et plus écologique. Sur ce point, Raphaël Glucksmann n’a cessé de marteler ses propositions : mettre la finance au service de la transition écologique, ériger la santé publique et la sécurité alimentaire en priorités absolues, suspendre les accords de libre-échange…
Sur la justice sociale, les idées sont aussi novatrices et solides : créer un SMIC européen d’au moins 65 % du salaire médian, soutenir un modèle européen d’entreprise qui donne autant de pouvoir aux salariés qu’aux actionnaires dans les conseils d’administration, créer une taxe sur les transactions financières afin que les multinationales paient leur juste part d’impôt à l’endroit où elles réalisent leurs bénéfices, et lutter contre les paradis fiscaux.
Enfin, pour le candidat tête de liste choisir « Envie d’Europe » c’est choisir la
démocratie européenne. Il souhaite en effet construire une « Europe des citoyens, contre une Europe des lobbies », en renforçant les pouvoirs du Parlement européen et de l’Initiative citoyenne européenne, et en créant une Haute autorité européenne pour la transparence de la vie publique.

Il reste désormais 3 jours à Raphaël Glucksmann pour convaincre. Fort du soutien déjà obtenu par Christiane Taubira ou encore Bernard Cazeneuve, c’est avec la Maire de Paris Anne Hidalgo et Najat Vallaud-Belkacem qu’il poursuit sur son « chemin de conquête » jusqu’au 26 mai prochain.

EuroCité